> Levée du pied Gauche.

Hmmm ... Qu'il était beau ce doux rêve qui caressait mes paupières engourdies. On aurait dit le Paradis, tout s'y passer merveilleusement bien, tout était parfait, même peut-être un peux trop, pas un danger a l’horizon. Dans ce rêve, j’était un dresseur, j’était moi, avec les Pokemons de me mes rêves (c’est le cas d’le dire), arpentant terre & mers, a la recherche d’un soupçon d’aventures, je flirtais avec ce doux monde qui m’appartenait, que je fabriquer au fur et a mesure que j’avançais dans cet aventure épique. Dans cet univers, rien ne me résister, aucun n’adversaires n’était a ma taille, vraiment, aucun. C’était pathétique, et surtout ennuyeux, mais pourquoi mon petit coin de cerveaux qui s’occupait de distraire mes nuits, ne pimenter pas un peux le tout ? Etrange, la question me turlupine. J’ai lus beaucoup de livre sur le monde Pokemons, j’ai aspirer toute donner concernant ce monde, dans tous les reportages qu’ils diffusaient à la télé. J’en ais même vus et revus, c’est dire si j’en connais un rayon, surtout sur les bébés Pokemons, où là, je dois être imbattable. Ce n’est pas étonnant, ayant vécu auprès d’eux, tout au long de mon enfance, et c’est encore d’ailleurs le cas. Je les côtoie encore, et j’espère que cela continuera tout au long de ma vie, car d’ailleurs, c’est mon rêve ; vivre auprès de ces êtres magnifique et étrange, atteindre les sommets avec leur aide, devenir un dresseur de renommé mondiale ! Et oui … un rêve banale finalement, mais j’y tient a ce foutu rêve, il ne me rends peux être pas plus différent qu’un bon petit milliers d’individus, mais j’y tient, et puis, je me différencierai d’une autre façon : la mienne. Mais en y réfléchissant bien, il est facile de comprendre pourquoi mon rêve n’est pas si relevé, car rien ne pourras remplacer la vraie aventure. Tu sais, celle que tu vis toi, et non a travers de foutu bouquin qui te font baver sur ce qui peux t’attendre, eh ben moi j’ai dus gaspiller beaucoup trop de salive a lire, a apprendre une vie qui se trouve juste derrière le pas de ma porte. Mais y’a tout de même un hic, car sinon ce serait beaucoup trop facile. Je n’ai pas de Pokemons.
Evidemment c’est simple d’y penser, mais, en avoir un, cela est plus difficile. Car je ne sais pas comment m’y prendre. Ayant le contact difficile, et une timidité qui ne m’aideras pas non plus, je suis un peux dans une impasse. Quoique je trouverais forcément une solution, car je ne suis pas non plus née de la dernière pluie … Trouver une solution, quoi de plus simple, j’en ais même plein dans mon jardin, des solutions ! Mais comment demander a ma mère si je peux lui prendre un Pokemons, qui ne sont généralement pas a elles, puisque qu’elle en éduque en majeure partie. Si je puis m’exprimèrent ainsi : Et merde ! Bon, en même temps, j’ai tout le temps devant moi, il n’y a rien qui presse, exceptait mes ambitions. Et puis j’ai un rêve à finir moi !
Je me retourne, en me recroquevillant dans ma couverture.

Mère – Hellysh ! Réveille-toi ! On n’a pas toute la journée ! Descends immédiatement !
Moi – Grmmmmbll
Mère – Réveille toi !!

Nan mais qu’est-ce qu’elle croit, j’vais pas m’réveiller, Pijako n’a pas encore sonner les matines. Dans mes oreilles, j’entends les pas lourds d’une personne énerver qui monte les escaliers. Ca sent le roussit, mais je préfère quand même continuer a faire comme si de rien n’était. Sur la poignet métallique, une main semble s’y poser calmement, pendant que mon corps frêle se crispe. D’un coup la porte et violemment ouverte, et rebondit contre le mur dans un bruit fracassante, autant dire que j’en ais la chair de poule. Ces pas lourds que j’entendais arriver depuis l’escalier, s’approche de mon lit. C’est alors qu’une main s’empare de ma couette et la lance en l’air, j’en suis désarmé, je suis désormais a couvert devant l’ennemi, quand en adviendras-t-il de moi ? Vous le saurez au prochain …

Ma mère hurla alors de toutes ces forces – HELLYSH ! DEBOUT !

Je fus alors debout au pas de commandement, j’avais peur pour ma peau moi. Ma mère repris alors,

Mère – Tu vas t’habiller et fissa, tu vas descendre prendre ton petit déjeuné puis te laver les dents.
Moi – Un peux comme d’habitude quoi …
Mère – Oui, mais là au quart de tour s’il te plaît.

Elle me fit un grand sourire gay et tendre, mélanger avec la colère. J’en ais froid dans le dos. Je fis alors en vitesse ce qu’elle me demanda, voulant éviter toute représailles. Une fois m’être laver les dents, je descendit dans le salon, pour y retrouver ma mère. Au faites, je ne l’est pas présenté : Elle s’appelle Kajin. Elle m’attendait sur le canapé, un Toudoudou sur les genoux, auxquels elle donner le biberon. Je m’installa alors sur le canapé d’en face, et je me mit a attendre. Il passa bien 10 minutes entre mon arrivé et ses premiers mots,

Kajin – Bon, ça fait déjà pas mal de temps que tu me pompes l’air avec tes histoires d’aventures et je ne sais quoi. Mais j’ai compris que tu voulais quitter le nid familial, pour devenir dresseur. Tu sais bien que ton père n’est que très rarement a la maison, car a la recherche de mines. Je sais bien que tu es sans doutes impatient à l’idée de partir maintenant, ou dans les plus brefs délais, mais j’aimerais que tu partes un jour ou ton père serais-là, comme ça, je me sentirais moins seuls, comprends-tu ?

Je ne répondis pas,

Kajin – Prends une décision maintenant, car après il sera trop tard …

En rabaissant mon visage dans mon foulard gris, je me mit a réfléchir, bien que ma décision était déjà faite, je préférais montrer des signes d’hésitations, pour ne pas vouloir blesser plus grandement le cœur de ma mère. Je dit alors ma réponse, le nez dans le tissu chauffer par ma respiration,

Moi – Je préfère partir aujourd’hui, pour évitez que tu ne t’habitues plus a ma présence, sans quoi, plus tard il te seras encore plus difficile de te séparer de moi…

Oh putain ! A en voir le visage de ma mère, je n’ai jamais dus dire quelque choses d’aussi profond … J’en suis moi-même rester perplexe quelque secondes, mais mon discours était fais, proprement et joliment, c’était ça de fait. Ma mère me dit alors d’attendre, et me donna le Toudoudou, pour que je continue de le nourrir, pendant qu’elle partait préparé mon sac. En revenant, elle repris le petit Pokemons qui s’était endormis. Elle me donna en échange un sac blanc, beige et gris. Je le mis sur mon dos, puis me dirigea vers la porte. Je pris la poignée, ouvrit la porte, puis sortit de la maison, pour refermer la porte derrière moi. Dehors, le ciel était encore d’un bleu pâle, des nuages d’un ton grisâtre et rouge qui cachait un soleil qui se levait sur une ville d’Ebennelle encore endormie, sur des fleurs encore mouillée par la rosée matinale … Mais … Un soleil qui se lève a peine … Je retroussa ma manche, pour lire qu’elle heure afficher ma montre : 6h23. Mes yeux était rond, gros et blanc comme des oeufs de Leveinard, je me retourna et rabaissa la poignée pour rentrer dans mon chez moi. Fermée. Aaaargh, la traîtresse ! Elle m’a piégée, et le bus qui n’arrive qu’a partir de 8h30, autant dire que la patiente sera de mises. Je m’installa alors sous l’abri bus, et m’allongea sur le petit banc, en attente du prochain bus.

La matinée à Johto est très calme. Il fait déjà doux dès les premières lueurs du soleil. Le climat de cette région est le plus accueillant par rapport aux autres régions. En effet, à Sinnoh le climat est plus froid qu’à Johto, et pour preuve, Frimapic était une ville totalement enneigée, la partie nord du Mt Couronné était ainsi enneigée. Il fallait dire que cette région était située au nord de Kanto. Sur un plan géographique, Johto se trouve à l’Ouest de Kanto. Et la quatrième région se trouvait encore à l’ouest de Johto. Ce qui faisait donc de Sinnoh la région la plus froide des quatre régions.
Rullio adorait Johto, en effet c’était la région la plus chaleureuse et celle qui abritait le plus de choses antiques quoique Sinnoh avait aussi son lot de surprise ainsi que Hoenn. Mais la région de Johto abritait les tours de Rosalia. C’était d’ailleurs là bas que Rullio avait vécu une aventure extraordinaire ! Mais il la gardait pour lui, faisant ses voyages en solo il n’avait personne à qui vraiment parler. Le dresseur était donc sur la Région pour prendre du Lait Meuhmeuh pour ses Pokémons ainsi que diverses baies et noigrumes pour ses Pokémons. Bref, c’était uniquement pour faire des provisions pour pouvoir vivre en équipée sauvage, comme il en vivait. Il avait un objectif qu’il ne comptait pas laisser partir, et il savait où il se trouvait.

Son objectif, se déplaçait très rapidement. Il était actuellement à Rosalia. Rullio reçut un appel très tôt dans la matinée alors qu’il était dans son lit, après cet appel,il s’habilla puis il déjeunât et partit très tôt dans la matinée, il sortit du gîte où il logeait, posa les Pokédollars sur la table, partit dans le champ aménagé pour les Pokémons des dresseurs logeant ici. Tout ses pokémons répondaient à l’appel. Dans la partie herbeuse, une sorte de plaine, dormait Arcanin, ainsi que sur ce chien dormait Jungko qui avait pris appui sur Arcanin pour faire son somme. De plus, un lac était situé dans le champ, sur le petit morceau sableux dormait Lokhlass qui pour une fois ne dormait pas dans l’eau. Un petit îlot rocheux au milieu de ce lac où dormait Dracolosse, sur le dos comme à son habitude. Dans la partie légèrement boisée du champ dormait sur une branche Absol, allongée de tout son long sur la branche, la patte soutenant la tête, et, une branche au dessus, Etouraptor ne dormait que d’un œil pour protéger son territoire.
L’enquêteur commença par réveiller Absol qui rentra directement dans sa Pokéball, il voulait surement continuer sa nuit tranquillement. Puis vint le tour d’Etouraptor qui s’envola sur le champ faire un tour des environs. Puis, le dresseur donna deux tapes sur le cou de Lokhlass pour le réveiller, ce dernier réveilla tout le reste du groupe en chantant… Une berceuse ! Bref, Rullio donna alors un repas de baies à chacun qui ne se fit pas prier pour manger. Puis tout les Pokémons rentrèrent dans leurs Pokéballs mis à part la grande Dracolosse et Etouraptor. Les deux Pokémons allaient s’envoler pour Ebènelle. Rullio s’accrocha au cou de son dragon, qui se mit à battre des ailes très rapidement, pour un envol très rapide.

Dracolosse était un Pokémon qui volait extrêmement rapidement, la preuve, les cailloux se soulevaient après son passage. Les paysages se ressemblaient petit à petit. Dracolosse passa au dessus de la tour de Rosalia en ralentissant pour admirer un peu le magnifique paysage qui s'offrait à lui, ensuite le paysage allait être plus rocailleux et donc moins beau à regarder. Puis on aperçut au bout d’une heure le lac Colère qui était LE lac de Johto. Puis, le dresseur fit descendre Dracolosse à ras terre. Son passage près du sol faisait se soulever la poussière qui était véridique quant à l’arrivée à Ebènelle. Puis le dresseur vola au dessus du ruisseau d’Ebènelle pour passer finalement en furie devant l’arrêt de bus. La poussière se soulevait à son passage. Puis, Rullio s’arrêta devant le lac qui emmenait à l’Antre du Dragon. Il vit que ce qu’il cherchait était partit par la voie de la Terre. Il descendit donc sur terre, fit rentrer Etouraptor et Dracolosse dans leur Pokéballs respectives. Il fit sortit Arcanin de sa ball comme il le faisait souvent. La nuit n’était plus très sombre et les lumières de la ville c’était un éteintes, un léger vent soufflait sur la ville des Dragons qui étaient déserte à cette heure.

Ebènelle était une ville simple, un centre Pokémon sur le grand axe routier et une boutique un peu plus loin, vers le lac qui mène à l'Antre du Dragon. La plupart des gens vivants sont d'anciens dracologues ou d'ancien tout cour. Des anciens champions du plateau Indigo vivent ici, cette ville est l'une des plus mythiques de Johto de part son Antre où l'on trouve tout type de dragon. Mais la ville en elle même est très simple, seul le grande axe routier et goudronné, les autres axes sont assez poussiéreux et ensablés. Mais c'était ce qui faisait le charme de la ville. Par contre dans cette ville il n'y avait pas vraiment de loisirs, il n'y avait ni Casino ni rien du tout d'ailleurs. Une seule Boutique, une épicerie et c'était fini. Dommage pour une ville comme celle là mais elle ne tenait pas trop à attirer les touristes non plus.

Puis ils attendirent devant le lac, pendant un moment. Rullio se mit à caresser le flanc de son Pokémon attentif au moindre bruit. Soudainement les oreilles de son Pokémon se sont retournées en arrière, encore hautes, il avait entendu du bruit. Il se retourna d’un seul et unique bond et se mit sur ses gardes.
Son dresseur vêtu d’une simple chemise blanche et d’un jean on ne peut plus banale, les Balls rangées sur la ceinture de ce jean, se retourna lui aussi et marcha. Il ne vit qu’un endroit où il pouvait y avoir quelqu’un, l’abri bus. Il s’y approcha tranquillement, en sifflotant un air très connu. Le thème d’un certain film de conquête galactique. Avec des Sabres Lasers…

Une fois à hauteur de l’abri bus il arrêta de siffler, regarda une dernière fois la configuration des lieux, une grande route, avec des pâtés de maisons, deux routes gouderonnées. Puis, il regarda sa montre : 7h00. Il se retourna donc vers l'abri bus et puis il vit un jeune homme, habillé d’une écharpe et d’une veste, un sac à dos posé à côté de lui. Il ne faisait aucun doute qu’il venait de partir de chez lui pour un grand voyage. Un très long voyage, celui des dresseurs Pokémons. Il n’avait aucun Pokémon à en juger par son mode de déplacement, ou par ses Balls. Arcanin se déplaça près de son dresseur et regarda l'autre interlocuteur. Kyosu quant à lui s'avança légèrement en faisant posant les bras le long du corps

« Il est un peu tôt pour sortir non ? Que fais tu ici ? Qui es tu ? Avec un sac à dos comme celui et bombé comme ça il doit être bien rempli, tu veux partir à l'aventure Pokémon ? » Dit Rullio dans le mouvement.

Il alla près du dresseur pour lui tendre la main, signe de non combat. Il repérait les jeunes qui ne rêvaient que de devenir dresseur et qui quittèrent leurs parents contrairement à leurs avis personnels. Il avait dû avoir beaucoup de courage pour partir comme ça, vers l'inconnu. Arcanin quant à lui, se rapprocha du dresseur, puis voyant la situation plutôt calme, il regarda fièrement le levé du soleil en restant attentif à son dresseur et meilleur ami, il était de profil par rapport à Rullio et au jeune homme, il avait son allure la plus fière possible, c'est là où il était impressionant. Rullio était quant à lui très souriant et chaleureux, il ne voulait que du bien à son interlocuteur, il le regardait sous tous les angles, c'était comme qui dirait une déformation professionnel. Il essayait de connaître le maximum de choses en voyant la personne en face de lui. Et d'après ce qu'il concluait. L'homme qu'il avait en face de lui avait une quinzaine d'années, venait simplement de partir de chez lui pour la grande aventure. Il était content pour lui. Il serait même prêt à l'aider à commencer son périple. Mais déjà il attendait une réponse du futur dresseur, en effet si celui ci le rembarrait il n'allait surement pas apprécier mais cela n'allait surement pas arriver.

« Désolé, je ne me suis pas présenté, je m'appelle Rullio, je suis dresseur de long terme. Et voici un de mes équipiers, Arcanin.» Lança l'enquêteur pour montrer au dresseur sa sympathie.

Après cette parole Arcanin regarda son dresseur lui donna un coup de tête gentiment, puis il se remit à observer le soleil, comme à son habitude. Il regardait tout le temps les lever de soleil. C'était sa passion. Il trouvait cela surement très mystérieux le faite que le soleil change de couleur selon les jours, le temps etc. Il était vrai qu'aujourd'hui, le soleil était orange, pas un nuage à l'horizon. C'était un spectacle radieux. Les rayons du soleil arrivaient à peine au niveau de l'abri bus et grandissaient à vue d'oeil...

Cela devait bien faire une bonne heure que je poiroter là, à attendre le premier bus du jour. Vous vous demandez certainement pourquoi celui-ci n’est-il pas chez lui, tout simplement parce qu’il ne peux plus y entrer. Je me suis réfugié sous l’abri bus, à attendre. Pour faire patienter le temps, j’inventa des petit jeux, me fit passer des paris, mais ce que je faisais par-dessus tout, dans la longue attente, c’était de contempler cette magnifique ville qu’est Ebènelle. La ville d’où je suis née. La ville dites des Dragons, une petite citée coincée entre la montagne et une petite rivière. C’est une assez jolie ville, même si très peux touristique. Et puis il y a son arène, une arène tout de même mythique, surtout grâce a son actuels championne : Sandra. Une dresseuse qui en a sans doutes fait pleurer plus d’un. Mais c’est notre fierté, sans elle, notre ville ne serait pas si intéressante que ça, et sans cette arène, l’afflux de nombreux dresseur n’existerait sans doute pas… Quoique, il y a quand même cet Antre, sur la quelle je ne développerais pas plus, car je connais vraiment très peux de choses dessus, bien que citoyen d’Ebènelle. Tient, j’oublie aussi Peter, le maître de la ligue Indigo, qui viens d’Ebènelle, et qui est le frère de notre Championne. Comme quoi, à Ebènelle, la réussite fait partis de notre passe temps favoris. Et j’espère plus tard, aussi être une fierté d’Ebènelle, faire connaître cette jolie ville qui est tout de même un peux la mienne. Enfin, je m’emporte, j’aurais tout de même un sacré bout de chemins à parcourir avant… Et pour commencer, si ce bus pouvait arriver plutôt que prévus ce serait bien…

Alors perdus dans mes pensées, je me mis à croiser les bras, rentra ma tête dans mon foulard, et ferma les yeux. C’est alors que j’entendus des sifflement, la ville devait commencer a se réveiller, sûrement quelqu’un qui partait au boulot tôt, je n’y prêta guère attention, quelqu’un qui siffle ; banale. Mais ce bruit se rapprochait, et en plus des pas qui semblait être ceux d’humains, d’autre vinrent ce joindre a la partie, plus lourds et moins régulier. De plus, la température monter en accompagnant les pas pesant. Cela me parus étrange, et anormale, ce qui donc me fit ouvrir les yeux. En ouvrant les yeux, je vus tout d’abord un homme, une personne très grande, qui devait au minimum, atteindre le mètre 90. Pour étudier son corps, je ne bougeai que mes pupilles. Un homme roux, vêtu d’une simple chemise blanche. En l’arpentant mieux, on pouvait voir, accrocher a sa ceinture, des Pokéballs, ce qui déclancha tout de suite chez moi un déclique. Il m’intriguait de plus en plus. D’autant que je ne l’avais jamais vus auparavant dans le coin. En regardant sur le côté, celui-ci avait un pokémon. Un Arcanin, voilà donc d’où provenait cette étonnante source de chaleur. Désormais, rien ne pourrait plus faire dévier mon regard de ce magnifique Pokémon. Un Pokémon que j’ai toujours trouver splendide et énigmatique. Dans tout les livres et documentaires que j’ai pus voir, c’est l’un des pokemons qui m’a toujours le plus attirait : et voilà que j’en vois un, là, sous mes yeux ébahis. L’homme se mit alors a me parler, mais je me foutais totalement de ce qu’il pouvait bien me dire, j’avais en face de moi, un Arcanin, quoi de mieux pour commencer mon aventure (qui n’a d’ailleurs pas commencer) ?

L’homme roux s’approcha de moi et me tendit sa main, d’une manière amicale. Le Pokémon, qui devait sans doute être le sien, lui aussi s’approcha. J’en eu alors des frissons, partout dans le corps. Nos regards se jonchaient. Cela ne dura sûrement que quelques secondes, mais cela me parus être une éternité, mais la plus jolie des éternités possible. Puis il leva son museau vers le ciel. Je revins alors sur l’homme, qui souriait. Il me tendait toujours sa main, le pauvre, il va se faire une crampe. Il se présenta alors, il me dit alors son prénom : Rullio. Il m’informa aussi qu’il était un dresseur, que ce magnifique Arcanin, parcourait le monde à ses côtés. Quelle chance il avait. Soudain, son Pokemon lui lança un léger coup de tête. Je ne compris pas, mais à travers mon foulard pâle, je souriais. Celui-ci tendant toujours sa main, il avait l’air assez bête. Je lui tapa alors du poing dans la main, mon petit bonjour a moi, quoi. Je ne savais s’il allait le prendre bien ou pas, mais qu’importe après tout. Je baissa légèrement le tissu qui recouvrait la majeure partie de mon visage, et me présenta à mon tour,

« Hellysh … 16 ans … »

Pas plus de mot, d’ailleurs, je n’avais guère plus de choses à dire. Et puis, je n’avais pas écoutait ce qu’il m’avait dit précédemment, car mon esprit, vous le savez, chavirait sur une beauté de la nature, un Pokémon de type feu, aux allures fier et dignes. Mais pour respect envers lui, je repris la parole, toujours le doigt sur mon morceau de tissus gris, je lui demandais

« Hum … Excusez-moi, mais j’n’ai pas entendus vos premiers mots … »

Sans changer d’expressions de visage, ce qui peux être, aller se retourner contre moi, car, il pourrait peux être ce dire, qu’en réalité je m’en tape, mais alors totalement. Ce qui a d’ailleurs était vrai pendant un court instant, certes, mais ce n’est pas une raison. J’en laisse alors là mes derniers mots, attendant sa réponse, et étrangement, dans l’inquiétude, une inquiétude, qui sur mon visage, parait être la confiance, et l’indifférence.

Le soleil se levait petit à petit. Sans un nuage à l’horizon, une couleur orangée dévorait le ciel d’une couleur assez peu commune, l’indigo. Les deux versants de montagnes étaient éclairées par les lueurs du soleil. Les contours du soleil ne se dessinaient pas encore parfaitement, une petite brume enveloppait désormais la ville à cause de la chaleur suite à la rosée. Le soleil avait un aspect flou qui le rendait vraiment sublime. Arcanin adorait l’admirer, c’était son petit plaisir personnel. Et son dresseur le respectait à chaque fois. Par contre ce que détestait Arcanin c’est qu’on le fixe dans les yeux, sauf quand c’était son dresseur, il avait beaucoup de mal à la supporter. C’est pour ça qu’il se mit à grogner lorsque l’homme sous l’abri bus le regarda directement dans les yeux. Il détourna rapidement les yeux pour montrer son désintérêt total pour le futur dresseur.

Rullio remarqua très rapidement la réaction d’Arcanin envers Hellysh, il sut très rapidement l’avis d’Arcanin sur le dresseur, et son avis n’était pas très gentil. Bref, le dresseur répondit qu’il avait 16 ans, un peu tard pour commencer sa vie de dresseur, Rullio lui, l’avait commencé à l’âge de 10 ans suite à l’attaque de Kyogre et Groudon sur Nénucrique. C’était un moment inoubliable, la bataille du siècle, et l’Enquêteur y avait assisté, c’est d’ailleurs pour cela qu’il était parti de chez lui, pour voir d’autres légendes vivantes du monde des Pokémons. Il avait réussi à capturer quelques légendes vivantes lui-même, son Arcanin, son Absol et son Lokhlass. Bref, il adorait tout les Pokémons rares et voulait partager sa passion, c’est pour cela qu’il décida très rapidement d’aider le dresseur à commencer son aventure. Il avait bien vu que le dresseur était subjugué par son Arcanin mais ce dernier ne voulait pas de lui. Il décida donc d’aider à la capture du premier Pokémon du dresseur. Etant à Ebènelle il lui fallait un très bon Pokémon. Il décida donc d’aller chercher un Minidraco !

« Je te disais que j’allais tout simplement t’aider à commencer à pouvoir t’en sortir dans ce monde de brutes ! Suis moi; et, de plus, ne regarde plus jamais Arcanin dans les yeux. » Dit Rullio un peu tendu

En effet il trouvait que ce qu’avait fait Hellysh était déplacé, quand une personne parle, on doit l’écouter mais c’est vrai que le futur dresseur était un peu jeune pour avoir vu des Pokémons vraiment imposant, et magnifique par la même occasion. Rullio, se retourna donc après ces paroles, Arcanin se mit à courir pour le rattraper et marcha à ses côtés. Le dresseur regarda si le jeune homme sous l’abri bus le suivait, il le suivait. Il continua donc sur l’axe principal et arriva au niveau du lac menant à l’Antre des Dragons. Une fois arrivé devant, il se retourna, fit signe au dresseur de se dépêcher. Il décrocha une Ball de sa ceinture puis dit :

« Arcanin, reviens. »

Une lueur rouge enveloppa le Pokémon majestueux, puis il devint presque transparent et la leur rentra dans la balle. Rullio réaccrocha la Poké Ball et en décrocha située de l’autre côté. Il la sortit, appuya sur le bouton du milieu pour la faire grandir, puis il la lança dans l’eau, elle s’ouvrit pendant le vol, une lueur rouge apparut dans l’eau. Elle prit la forme d’une carapace avec un long cou et une corne. Puis cette lueur disparut pour laisser place aux couleurs de Lokhlass. Une fois celui-ci apparut il se mit à chantonner un peu puis s’arrêta. La ball revint vers le dresseur qui l’attrapa au vol. Puis il caressa le cou de Lokhlass qui se mit à crier son nom sous la caresse. Lokhlass avait un œil bienveillant envers son maître et une forte amitié. Rullio se retourna pour regarder le dresseur.

« Viens, nous allons à l’intérieur, que tu puisses commencer à vivre comme un dresseur, un vrai ! » Fit Rullio.

Il pris place sur la carapace de Lokhlass, s’asseya près de son cou, et laissa l’autre dresseur s’installer en lui tendant la main pour l’aider. Lokhlass se retourna pour donner gentiment un coup de tête à son dresseur qui posa sa main sur la bouche du Pokémon qui s'arrêta net. Les pas d'Hellysh semblait hésitant. Lokhlass regardait pourtant le dresseur gentiment. Il se mit gentiment à chantonner, comme il le faisait à son habitude et la mélodie était radieuse.

Je venais de demander a Rullio s’il pouvait répéter les mots qu’ils m’avait dit auparavant, et c’est ce qu’il fit. Il allait m’aider, disait-il. Mais pourquoi ? Je n’en savais rien du tout, et il ajouta que je ne devais plus regarder son Arcanin dans les yeux… Pourquoi cela, ces deux questions tourmentait mon esprit, qui se tuait à vouloir trouver une réponse. Lors de cette réponse, sa voie sembler tendue, j’en déduis donc que son Pokemon a dus recevoir un traumatisme. Comme moi … Mais je m’emporte, ce n’est pas mes affaires ! Je n’ais qu’à faire ce qu’il me dit, et je me tais !

Je baissai les yeux, ce sera mieux que rien. Il se retourna, puis repris sa marche, et le Pokémon se mit à le suivre. Je mis du temps avant de me décider à me lever du petit banc, sur lequel je m’étais assis. Mais de toute façon, je n’avais rien perdre, et puis, il n’a pas l’air si méchant que ça. Je pris mon sac en même temps que je me levais, je le mis sur une épaule et le suivit. Je suivais ces pas a quelque mètre de lui et de son Pokémon.

Nous empruntions dans la grande rue, le centre ville en gros. Etrangement, personne, sauf nous, n’était encore levé. Ce qui m’étonnait, d’habitude, il y a au moins quelques personnes, mais qu’importe, je devrais plutôt me concentrer sur ce Rullio, il m’a demander de le suivre, et j’me d’mande bien ou il peux m’emmener comme ça. Le plus étrange, c’est qu’il semble connaître la ville. D’ailleurs, il a dus l’atteindre par le ciel, car sinon, je l’aurais vus arriver, ce qui donc, signifie bien qu’il était déjà venus a Ebènelle. Je me demande s’il a déjà battus Sandra, comme il se dit dresseur de longue date …

Nous arrivâmes au lac, celui-ci me dit alors de me dépêcher, ce que je fis. Je me mis à courir pour le rejoindre. Il enlevà alors une Ball de sa ceinture, et fit revenir son Pokémon, en le lui demandant. Il la r’accrocha a son port, et en repris une autre. De cette Pokéball, en sortie un autre Pokémon, qui se trouvait sur l’eau. Celui-ci était bleu, recouvert d’une épaisse carapace. Je l’ai déjà vue quelque part … Il est dit assez rare. Ce qui confirme bien que ce Rullio, est un dresseur qui doit être plutôt bon. Le fait qu’il ce pokemon, me donne confiance en lui, désormais je pourrais le suivre partout, je ne sais pourquoi d’ailleurs. Lors de son apparitions, le Pokemon chantonna un air assez doux, et son dresseur monta dessus, pour s’installer près de son cou. Il m’avait que nous irions dans la grotte, pour qu’il me capture un pokémon. C’est bon, cet homme a une place dans mon cœur. Il me tendit la main pour m’aider à monter sur ce pokemon aquatique. J’avançais d’un pas plutôt prudent, je pris la main du dresseur, et posa un premier sur sa carapace dur et solide. Ce qui m’effrayait le plus, c’était ces piques qui semblait très pointu, j’imaginais tout sorte de choses horribles qui pourrait arriver a qui que ce soit s’il s’empalait dessus. Enfin, je devrais plutôt y aller d’un coup ; je posa mes deuxièmes pieds et lâcha la main de Rullio. Je m’installa prudemment sur son cette carapace qui en imposait. Le plus dure était tout de même de se caser entre ces pointes à faire pâlir de jalousie un Rhinoféroce. Le Lokhlass repris sa chansonnette. Je pris entre ma main droite, un des pics de son flan, sans le tenir fermement, ayant crainte de toute représailles, et dans l’autre main, je te tenait mon sac, pour évitez que celui-ci ne tombe. Je redressa la tête, et vit la tête du Lokhlass. Il me regardait, et semblait joyeux. Sous mon foulard, je souriais, mais cela ne se voyait pas.

Je ne sais alors pourquoi, je me mit en tête, d’enlever mon foulards, au moins tant que je serais avec Rullio et ses pokemons. Je dénoua alors le nœud qui le se trouvait derrière ma tête, cachait par ma chevelure grisâtre. Je l’enlevas, et le rangea dans la poche de ma veste noir et blanche. Dans mes arrières pensées, j’espérait que cela ferais plaisir au Pokemon sur lequel je me trouvait, et puis, je trouve que c’est plutôt respectable de se découvrir. Et puis cela permet un peux a ma peau de retrouver les goûtes de soleil, qui lui ont tant manqués. Et cela éviteras tout dépigmentation et autre maladie …

Je levais la tête pour contempler une dernière fois, les lueurs du soleil qui se lève derrière les haut sommets des montagnes, avant d’aller m’engouffrais dans cette grotte, qui m’est a la fois familières et inconnus …